Modérateur: Equipe
Kokoji a écrit:Merci à toi ! mais niveau ricochet c'est risqué ?
Projektyle a écrit:Kokoji a écrit:Merci à toi ! mais niveau ricochet c'est risqué ?
Normalement, sur un gongs métallique indéformable en acier très résistant, genre Creusabro (acier servant à fabriquer les godets des engins de BTP par exemple), une balle en plomb ou chemisée à noyau de plomb, va se vaporiser à l'impact. Et ce d'autant plus qu'elle est rapide et a d'énergie cinétique. Les fragments sont dangereux sur les côtés et sur le haut du gongs. prévoir des sacs remplis de sable, des pneux ou une "casquette" soudée sur le haut du gong, pour retenir ces fragments.
Les calibres qui ricochent le plus sont ceux qui vont le moins vite, comme le .22 Lr, le .38 Wadcutter ou le .45 ACP, qui vont s'écraser sans s'éparpiller et repartir en ayant une énergie suffisante pour blesser quelqu'un à proximité.
Il y a une bonne quizaine d'années, lors d'un fun tir dans le Gers, j'ai vu une spectatrice frappée au front par une balle de .45 ACP qui a ricoché après avoir tapé une quille, tapé dans une paroi rocheuse puis revenir en arrière. Elle a été quitte pour une belle plaie au front (et ça saigne vite et fort les coups à la tête, même si ce n'est pas grave en soit).
Heureusement elle portait des lunettes de protection.
Avec un calibre de carabine, un gong placé à 100 mètres devrait stopper tous les projectiles et les fragmenter en petits éclats qui ne reviendront pas vers le tireur, mais crépiteront sur les côtés et le haut, tout autour du gong. Pour la sécurité il vaut d'ailleurs mieux lui donner un léger angle négatif pour renvoyer le plus d'éclats vers le sol.
Projektyle a écrit:Kokoji a écrit:Merci à toi ! mais niveau ricochet c'est risqué ?
Normalement, sur un gongs métallique indéformable en acier très résistant, genre Creusabro (acier servant à fabriquer les godets des engins de BTP par exemple), une balle en plomb ou chemisée à noyau de plomb, va se vaporiser à l'impact. Et ce d'autant plus qu'elle est rapide et a d'énergie cinétique. Les fragments sont dangereux sur les côtés et sur le haut du gongs. Prévoir des sacs remplis de sable, des pneus ou une "casquette" soudée sur le haut du gong, pour retenir ces fragments.
Les calibres qui ricochent le plus sont ceux qui vont le moins vite, comme le .22 Lr, le .38 Wadcutter ou le .45 ACP, qui vont s'écraser sans s'éparpiller et repartir en ayant une énergie suffisante pour blesser quelqu'un à proximité.
Il y a une bonne quinzaine d'années, lors d'un fun tir dans le Gers, j'ai vu une spectatrice frappée au front par une balle de .45 ACP qui a ricoché après avoir tapé une quille, tapé dans une paroi rocheuse puis revenir en arrière. Elle a été quitte pour une belle plaie au front (et ça saigne vite et fort les coups à la tête, même si ce n'est pas grave en soit).
Heureusement elle portait des lunettes de protection.
Avec un calibre de carabine, un gong placé à 100 mètres devrait stopper tous les projectiles et les fragmenter en petits éclats qui ne reviendront pas vers le tireur, mais crépiteront sur les côtés et le haut, tout autour du gong. Pour la sécurité il vaut d'ailleurs mieux lui donner un léger angle négatif pour renvoyer le plus d'éclats vers le sol.
Bubar a écrit:Kokoji a écrit:Bah le calibre de base est puissant et bien perforant, du 148gr au 203gr je perce toute les plaque du stand...
Le calibre est pas plus perforant qu'un autre, c'est surtout que presque tout ce qui est disponible provient de surplus et qu'il s'agit de balles...........en acier ! (essaie un aimant, tu verras!)
Avec ce genre de calibre et ce genre de balles, ça passe dans les 11-13mm de ferraille en rigolant...!
Pour ce qui est d'un acier plus résistant, fais une recherche sur Google avec "RAMOR 500" : c'est de l'acier ballistique spécial, par contre je connais pas les tarifs...
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