Et oui, on fait le tour, et on en revient toujours au constat que les institutions se déchargent de leurs contraintes au dépends de leur affiliés (ou affidés, c'est selon
)
Dans les années 90, on nous vendait de l'informatique en nous expliquant que c'était la fin du papier. Et si les encyclopédies ont bel et bien disparues, ma corbeille est pleine d'imprimés qui m'ont juste servit à être scannés avec ma signature, ou celle d'un client...
Avant l’ère du numérique, un artisan seul travaillait avec un carnet pour les métrés, un pour les devis, et un pour la facturation, et il n'en passait pas un par an . Aujourd'hui, je passe 100 à 150 feuilles de papier tous les mois, et pourtant, je fais gaffe de ne pas gâcher...
Pour en revenir au GPF, on verra bien comment ça se passe pour accéder, et on s'adaptera
Exactement comme on a toujours fait, et comme nous devrons le faire avec le monde qui vient, qu'il soit numérique, ou néolithique
...