Les op-rods par trop sollicitées (notamment en cas de cycle opératoire trop rapide qui serait dû à une surpression au droit de l'évent de gaz) sont aussi exposées à une rupture en fin de trajet "arrière", lorsqu'elles s'immobilisent contre la tranche avant du boîtier de culasse. Ce qui, par inertie, entraîne l'impact de la culasse contre la cloison fermant le boîtier, et fracture celle-ci.
En toute logique, les op-rod des 2 types sont concernées par cette possibilité même si le 2° type (avec "relief cut") est mieux étudié pour limiter le risque de fatigue du métal à la jonction coudée. Ce composant est donc tjrs à surveiller de près, de même évidemment que le choix des munitions.