De mes conclusions toutes personnelles, c'est que debout est bien moins, voire pas du tout, une question
de différence de réglage nécessaire entre couché et debout qu'une question de lâcher.
Lorsque je regarde dans la longue vue avec bien en tête l'image de visée au moment du départ du coup je ne
suis jamais surpris de l'emplacement de l'impact. C'est vrai qu'il est très difficile d'assurer la même image que
pour le tir couché, guidon ras au bas du visuel, et que relever de deux crans/clics et obtenir comme ca une
marge de blanc donne un peu plus de confort mais tenir aussi la même "épaisseur" de blanc n'est pas plus
facile.
Le vrai "truc", celui qu'on retrouve dans la littérature ancienne, est de lâcher au moment où l'image est
conforme: quelque part le bouger nous fait balayer mais il faut tirer juste au moment, qui n'est pas long du
tout, où tout est en face et ne pas vouloir peaufiner/attendre car on ne fait qu'augmenter le balayage.
Pour mon humble avis, c'est beaucoup d'entrainement pour être sur de sa position et aussi très bien connaitre
son arme, cf le lâcher. Mais comme c'est une position pas mal ingrate, les 10 sont vite comptés, et fatigante,
les lombaires savent très bien se faire "remarquer", on a plus vite "travaillé" le couché que le debout: en gros
trois séries de 10 couché pour une debout là ou ca devrait être l'inverse. Et je me connais