Et c'est une bonne chose (que les arbitres soient vigilants...tout comme les tireurs se doivent de l'être).
Une arme à percussion qui n'a pas d'amorce ne peut pas...percuter...et donc faire partir le coup.
De toutes façon, il est "d'usage" que les tireurs qui sont justement "en train de tirer" puissent terminer leur séquence, si ils le souhaitent.
Donc, une fois l'arme vide de tout projectile (que l'arme soit à silex, percussion, mèche, rouet, ou à cartouches métallique), elle est, ipso-facto, "sûre".
Le problème, en fait, est de le faire savoir/constater VISUELLEMENT aux autres tireurs présents sur le pas de tir: c'est l'idée du "drapeau" (qui en plus, permet au tireur lui-même de ne pas oublier de faire le nécessaire pour mettre sa propre arme "en sécurité", quelque soit le procédé utilisé/utilisable ).
Quand cela est difficilement réalisable, voir "impossible" de procéder de la manière "classique" (drapeau dans la chambre), il ne reste plus qu'a s'assurer qu'aucun tireur ne reste au poste de tir...ce qui est de tout façon la "règle" ,
Et pour les plus "prudents", pourquoi ne pas s'assurer d'un coup d'oeil que le (les) tireur(s) PN ont fait le nécessaire (chien à l'abattu, etc...) avant d'aller aux cibles...tout simplement
J'avais bien pensé, initialement, à ce qu'un "chiffon" (de couleur) soit posé sur la culasse pour montrer qu'elle n'était pas "accessible" directement...mais cela a l'inconvénient de cacher le mécanisme de percussion...et donc va plutôt à l'encontre de la sécurité, finalement ?!