lolodu77 a écrit:Ok, mais débuter en tirant avec appui, ça devrait compenser quasiment tous les défauts, sauf le coup de doigt, non ?
Ce que j'essaie de dire, c'est que débuter le tir (très) tard, avec 2,3 séances par mois, c'est presque impossible de rattraper le temps perdu. L'appui, à défaut ? Je parle du réglage, la compète, c'est pour la solidarité et l'apéro...
Le problème c'est que tu peux très bien régler une arme en étant assis à un table, l'arme sur appuis, mais quand tu vas passer au tir debout, ton point d'impact moyen va changer. Je l'ai constaté régulièrement.
Debout à bras franc, l'arme est plus loin de l'oeil, on affine mieux la prise de visée alors que quand on est assis, l'arme est trop près de l'oeil. Sans parler de la prise en main, et donc de la réaction de l'arme au tir, qui sera différente d'un tir où le canon et la crosse sont appuyés sur un support fixe.
Tout ça donne souvent du fil a retordre.
nanard35 a écrit:le comptage s'effectue au centre en PN ? c'est ce qui expliquerait les 9 à 9h00 alors
Oui. On ne tire que 13 coups en 30 minutes, et les impacts sont comptabilisés par rapport au centre de l'impact, pas par rapport au cordon comme en ISSF. Cela compense le fait que tous les calibres/diamètres sont autorisés au tir en armes anciennes, alors qu'en moderne, c'est .22 Lr pour la percussion annulaire ou .32/.38 en percussion centrale seulement.
"Peut-on rire de tout? Oui.
Peut-on rire avec tout le monde? C'est moins sûr..."
- Pierre DESPROGES (1939-1988)