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Iroquoi44 a écrit:Ouai ... Une épingle qui se logerai dans le bassinet ou alors assez fine,
mais avec mon bout de fil de cuivre ça laisse un grand jour et une fois le fusil vertical pour le chargement,
je ne m'imagine pas la poudre du bassinet rester à sa place.
Quant à saigner la cartouche, même si j'ai tout entendu, le plus souvent ce qui ressort ce sont des munitions à 12 grammes !
En concevant 1 gr dans le bassinet et donc le reste (qui reste) dans le tube, ça devait claquer fort !
Je comprends qu'après les soldats ai tendance à en virer une portion...
Et j'ai contrôlé le mien : un tantinet moins de 2,5 mm.
Gilles78 a écrit:
L'ouvrage L'arme à feu portative française de Maurice Cottaz mentionne bien la procédure en 12 temps et 18 mouvements qui était en vigueur pendant l'époque impériale et il ne mentionne effectivement pas l'aiguillette dans cette procédure, mais il l'évoque un peu plus loin comme un outil pour déboucher la lumière obstruée par les dépôts de poudre.... Je trouve que cette méconnaissance de l'utilisation de l'épinglette est assez surprenante...
Iroquoi44 a écrit:Merci à ABC pour la confirmation de ma lumière.
Je vais donc continuer à chercher pourquoi j'ai tiré comme une grosse bouse aux derniers CdF à Vitroles !...
Pour le pistolet, la charge préconisé est dans la baguette. Elle est creuse, on la remplie et on vire le reste.
Ou on garde le reste et on vire la baguette, je ne sais plus.....................................
Arloing a écrit:L'épinglette n'était utilisée que pour les "tireurs d'élite" de l'époque,
Arloing a écrit:On arme le chien au premier cran, on ouvre le bassinet, on met un peu de poudre dedans, on le referme, on verse le contenu de la cartouche dans le canon, on enfonce la cartouche dans le fusil (dont le papier fait bourre), on arme au deuxième cran, et poum.
Gilles78 a écrit:Arloing a écrit:On arme le chien au premier cran, on ouvre le bassinet, on met un peu de poudre dedans, on le referme, on verse le contenu de la cartouche dans le canon, on enfonce la cartouche dans le fusil (dont le papier fait bourre), on arme au deuxième cran, et poum.
Cette procédure a probablement pour inconvénient de permettre à la balle+bourre de faire office de piston, de chasser l'air du canon dans le bassinet par l'intermédiaire de la lumière et de risquer ainsi de "souffler" une partie de la poudre qui est dans le bassinet.
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