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Et pour clouer le tout je suis gaucher pour ouvrir la culasse c'est rigolo.
nanard35 a écrit:Et pour clouer le tout je suis gaucher pour ouvrir la culasse c'est rigolo.
cela oblige à certaines contorsions mais ce n'est pas forcément rédhibitoire : je connais très bien un tireur gaucher multi champion de France de TAR !
bren10 a écrit:Beaucoup de MAS 36 ne sont plus en calibre d'origine (7-08 ou 30-284). ceux-là ont bien été modifiés par des armuriers civils. Comment ont-ils été remontés et avec quels composants? Si le devant a été remonté sans cale de tension, si le bois est plus ou moins vrillé et contacte le bois là où il ne devrait pas, que peut-on attendre de bon?
Et puis, ce reconditionnement après la guerre d'Algérie a-t-il été fait dans les règles de l'art? Ces fusils ont-ils fait l'objet d'un tir de groupement et de réglage avant d'être "remis en stock". Le simple fait qu'ils aient tous reçu une planchette N laisse planer un doute certain. Ce que tu dis du tien semble apporter de l'eau au moulin.
Pour mémoire, selon le Guide Pratique MAS 36 & FR-F1 (page 21 et suivantes), les tests initiaux de précision à 200 m sur un lot de fusils donnaient un H+L moyen de 32 cm. Meilleur groupement : 26 cm de H+L ; le plus mauvais : 47 cm. 41 000 cartouches tirées! On est loin des dispersions dont certains font état ici, avec une migration du point d'impact de plusieurs dizaines de cm.
Chacun ses convictions, mais un MAS 36 qui arrose tout le noir et au-delà et/ou qui envoie ses balles à des dizaines de cm du point d'impact initial après avoir chauffé a un sérieux problème. Ce n'est pas le procès du MAS 36 qu'il faut faire sans discrimination, mais plus probablement celui d'intervenants ultérieurs.
bren10
thistles a écrit:Ce post m'a finalement donné envie de ressortir du coffre le mien, un deuxième type en état neuf. 20 cartouches, appui avant sur 100 mètres. Et bien, les deux tiers dans le 10 et le 9. Après ça se disperse dans le noir. Un bilan plutôt pas mal au fond. Je vais recharger et refaire un essai. Si ça se confirme, me voilà réconcilié !
BERGEON a écrit:Petite question, sur la photo ci-dessous c'est bien un MAS 36 posé à terre en premier plan ?
5 septembre 1953 – Indochine française
Le service radio du 1er bataillon du 3e régiment étranger d'infanterie (REI).
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Laurent.
BERGEON a écrit:Petite question, sur la photo ci-dessous c'est bien un MAS 36 posé à terre en premier plan ?
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Laurent.
thistles a écrit:Ce post m'a finalement donné envie de ressortir du coffre le mien, un deuxième type en état neuf. 20 cartouches, appui avant sur 100 mètres. Et bien, les deux tiers dans le 10 et le 9. Après ça se disperse dans le noir. Un bilan plutôt pas mal au fond. Je vais recharger et refaire un essai. Si ça se confirme, me voilà réconcilié !
roberto tanguy a écrit:Pour moi c’est un Mas 36 51 par ce qu’il a posé le sac de grenade à fusil dessus de l’arme
BEG92 a écrit:BERGEON a écrit:Petite question, sur la photo ci-dessous c'est bien un MAS 36 posé à terre en premier plan ?
5 septembre 1953 – Indochine française
Le service radio du 1er bataillon du 3e régiment étranger d'infanterie (REI).
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Laurent.
Cette photo est extraordinaire d'enseignements.
Le Légionnaire dont l'arme est au sol a une canne en mains, tandis que son binôme en arrière plan a une Thompson M1 "War Model" dans les paluches.
Toute une époque résumée dans un cliché...
Citoyen26 a écrit:De mon côté, j'essaie de trouver un rechargement en 30-284 pour un assemblage de pièces disparates sur la base d'un boitier/canon de MAS 36/51. Pas facile de faire cycler normalement un MAS 36 dans ce calibre, la douille est fort dodu, et son épaulement trop abrupt pour que le cran de l'arrêtoir passe facilement au dessus de la cartouche suivante lors du mouvement arrière de la culasse
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