Modérateur: Equipe
facile : plaider la phobie...fusef a écrit:heuuuuuu et avec les impôts c'est quoi votre astuce pour négocier
Cantius a écrit:Dernièrement mon patron m'a demandé si je lui faisais une ristourne sur mon salaire...j'ai répondu "Niet"...
Wolfoni a écrit:fusef a écrit:heuuuuuu et avec les impôts c'est quoi votre astuce pour négocier
Il faut essayer la phobie administrative… c'est à la mode
Cantius a écrit:Dernièrement mon patron m'a demandé si je lui faisais une ristourne sur mon salaire...j'ai répondu "Niet"...
Wolfoni a écrit:fusef a écrit:heuuuuuu et avec les impôts c'est quoi votre astuce pour négocier
Il faut essayer la phobie administrative… c'est à la mode
gilles31 a écrit:Wolfoni a écrit:fusef a écrit:heuuuuuu et avec les impôts c'est quoi votre astuce pour négocier
Il faut essayer la phobie administrative… c'est à la mode
La mode , la mode en ht oui , car nous au milieu av d'etre vraiment en bas on en prendrait plein la tronche pour la même soit disant phobie
Didy43 a écrit:Et bien, je ne pensai pas faire autant de polémique en posant cette question.
C'est parler dans le vide car personne ne connais la marge que fait PGM sur ses armes.
A mon avis elle doit être conséquente, mais surement indispensable pour faire vivre l'entreprise car c'est un marché de niche donc pas comparable du tout avec un Leclerc qui écoule en masse.
russel68 a écrit:Didy43 a écrit:Et bien, je ne pensai pas faire autant de polémique en posant cette question.
C'est parler dans le vide car personne ne connais la marge que fait PGM sur ses armes.
A mon avis elle doit être conséquente, mais surement indispensable pour faire vivre l'entreprise car c'est un marché de niche donc pas comparable du tout avec un Leclerc qui écoule en masse.
A ma connaissance, nous n'avons pas écoulé beaucoup de LECLERC
russel68 a écrit:Didy43 a écrit:Et bien, je ne pensai pas faire autant de polémique en posant cette question.
C'est parler dans le vide car personne ne connais la marge que fait PGM sur ses armes.
A mon avis elle doit être conséquente, mais surement indispensable pour faire vivre l'entreprise car c'est un marché de niche donc pas comparable du tout avec un Leclerc qui écoule en masse.
A ma connaissance, nous n'avons pas écoulé beaucoup de LECLERC
La vente aux Émirats arabes unis
Le contrat de vente de blindés lourds Leclerc fut conclu avec les Émirats arabes unis en 1993. Il prévoyait la livraison de 388 chars de bataille, 2 chars-école et 46 dépanneurs ainsi que les munitions, les pièces de rechange et les moyens d'instruction liés au Leclerc, à partir de 1994, pour un montant de 3,2 milliards de dollars américains.
Afin d'obtenir ce marché, le prix du char Leclerc fut calculé au plus juste alors que son coût de fabrication unitaire augmentait. En 2000, un problème de mise à niveau des chars provoqua l'ajournement des livraisons, le temps pour les deux parties de trouver un accord permettant de reprendre les livraisons le plus vite possible. Le problème venait de la mise à niveau des premiers chars livrés au standard de la dernière tranche. Giat Industries déploya une forte délégation de 200 personnes environ chargées de la remise à hauteur des chars ; la livraison des 388 chars se termina fin 2003. Un problème presque identique frappa la livraison des chars dépanneurs pour le même pays. Il fallait remettre tous les chars déjà livrés en conformité avec la dernière évolution du dépanneur (Dépanneur nouvelle génération, ARV), les livraisons furent stoppées alors qu'il restait 18 exemplaires à livrer. Le problème résolu, les livraisons ont repris début 2007 et se sont soldées par la livraison des derniers ARV (Armored Recovery Vehicule) dans le courant du 3e trimestre 2008.
Ces difficultés diverses ont abouti à une interruption des livraisons en 2000. Le processus d'acceptation n'a repris qu'en juin 2001 au terme d'une négociation difficile.
Le contrat émirati a constitué un apport de charge considérable pour l'entreprise au cours des dernières années. À titre d'exemple, en 2001, l'exécution de ce contrat représentait environ 25 % de l'activité globale productive de Giat Industries. Cependant, son exécution a conduit à des pertes considérables pour l'entreprise, estimées à plus de 1,3 milliard d'euros en 2000.
Ce contrat a connu un aléa supplémentaire. Un plan d'acomptes favorable avait permis à Giat de dégager des réserves de trésorerie. Mais ces sommes ont fait l'objet de prises de risques inconsidérées qui ont entraîné des pertes de change d'un montant de 150 millions d'euros[réf. nécessaire].
La re-négociation imposée en dollars par les E.A.U., plutôt qu'en euros, a aussi ajouté du poids à la note finale (l'entreprise "paye" en Euro, mais est payée, à livraison, en dollars, les fluctuations de ce dernier changeant du tout au tout le rapport pertes/bénéfices final)9. Son prix est d'environs 9 millions d'euros.
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